Si le soleil attire les européens sur les Côtes méditerranéennes, en revanche, les prix de l’immobilier constituent parfois un frein à leurs velléités d’installation. C’est la raison qui a décidé bien des acquéreurs à franchir la Méditerranée, direction le Maroc, où ils trouvent à la fois un beau temps quasi permanent, une vraie qualité de vie, et enfin une offre immobilière étoffée, quasiment deux fois moins chère qu’en France, même si les prix de certains secteurs ont bien augmentés devant la forte demande. De plus, la multiplication des lignes aériennes permet des allers retours faciles entre les deux pays.
Une offre sur tout le territoire
On ne compte plus les logements neufs qui sortent de terre au Maroc : appartements, villas, résidences de luxe… Les acquéreurs ont l’embarras du choix, tant en ce qui concerne les produits que leur localisation ! Les pôles touristiques sont nombreux, des villes et stations balnéaires nouvelles sont créées.
Marrakech bien sûr accueille énormément de programmes neufs, mais Tanger et la baie de Taghazout connaissent également un fort développement depuis quelques années. Les stations balnéaires telle Agadir, sont bien évidemment toujours prisées. Les acquéreurs choisiront leur bien en fonction de leur mode de vie et de la finalité de leur achat : vacances seules, longs séjours, séjours quasi permanents…
Comme en France, on peut notamment acheter un bien non encore construit, en Vefa (vente en l’état futur d’achèvement). Les paiements seront alors échelonnés, comme dans le système français. Et les garanties seront les mêmes, le droit immobilier et foncier marocain étant calqué sur le droit français.
De nombreux avantages fiscaux
Acheter un logement au Maroc n’est pas compliqué. Il est possible de financer l’acquisition par crédit bancaire, à hauteur de 70 %. Les avantages dont le nouveau propriétaire peut bénéficier varie selon qu’il est ou non résident marocain :
les non-résidents peuvent transférer l’intégralité du produit de la vente de leur bien immobilier hors du Maroc. En cas de plus-value, le montant net de celle-ci peut également être transféré. Grâce à une convention fiscale signée entre la France et le Maroc, les non-résidents ne sont pas soumis à une double imposition.
les résidents étrangers imposables au Maroc bénéficient notamment de l’exonération des revenus locatifs de l’impôt général sur le revenu (IGR) pendant les trois années qui suivent l’achèvement de la construction, puis d’un abattement de 40 % ; en cas de revente de sa résidence principale, le propriétaire est exonéré de l’impôt sur les plus-values, à condition d’avoir conservé ce bien au moins huit ans. Les résidents étrangers ne payent pas non plus de droits de succession.
les retraités résidents marocains (on peut devenir résident marocain si l’on séjourne au Maroc au moins six mois et un jour par an) profitent d’un abattement de 80 % du montant de l’impôt sur leur retraite, à condition de transférer ladite retraite à titre définitif au Maroc, sur un compte en dirhams. Il est possible de ne verser sur ce compte que la somme nécessaire à la vie sur place.
La taxe foncière : Celle-ci est nettement moins élevée qu’en France et souvent inexistante en milieu rural !
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